Ni air, ni argon entre les vitrages mais un mélange d’eau distillée et de glycol en mouvement.
Quand la température extérieure descend trop bas, l’écoulement est stoppé de manière à permettre l’échauffement du liquide entre les deux parois.
Quand la température extérieure dépasse la température souhaitée à l’intérieur du bâtiment, la circulation du liquide est activée de manière à capter les apports solaires pour les amener ailleurs. La température de la fenêtre est ainsi abaissée et le liquide montée en température par le rayonnement infrarouge peut servir à la production d’eau chaude sanitaire.
Les chercheurs réfléchissent notamment à coupler cette technologie à des échangeurs géothermiques, histoire de stocker la chaleur estivale pour l’utiliser une fois l’hiver venu…
Le système est actuellement testé à Sofia en Bulgarie.